Les vitraux

Levez les yeux vers les deux grandes verrières à gauche et à droite de la coupole. Elles manifestent le mystère Pascal du Christ, d’un côté : la Passion, et de l’autre : la Résurrection.

En avril 1944, 13 bombes tombent sur la rue adjacente à la basilique du Sacré-Coeur. La totalité des vitraux est soufflée mais les murs restent intacts. Les personnes qui prient devant le Saint Sacrement restent fidèlement à leur place mettant leur foi et leur confiance en Dieu.

A l’entrée de la Basilique, des vitraux de 4 saints témoins du Sacré-Cœur.

Le vitrail la présente dans une attitude de louange, les deux bras levés. En bas du vitrail, l’enfant Jésus debout sur une Bible.
Anecdote : Gertrude demanda à Jésus une relique de la croix. Celui-ci désigne l’évangile comme relique de sa passion.

Il a été le premier à composer un office dédié au Sacré Cœur. Cet office a été chanté pour la première fois par les bénédictines, à Montmartre, dans les années 1670.

La sainte de Paray le Monial, avec derrière elle, la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre.

Canonisé par le pape François, Charles est souvent venu à la Basilique participer à l’adoration. Puis il part définitivement à Tamanrasset pour mener sa vie d’ermite.

Les 8 rosaces sont placées très haut dans les murs de la basilique. A droite et à gauche de l’entrée principale.

Ce chiffre de 8 rappelle les 8 béatitudes. Elles sont en forme de marguerite pour évoquer les apparitions du Sacré-Coeur de Jésus à sainte Marguerite Marie.

Au cœur de chacune, des symboles eucharistiques (le pain, le blé, la vigne) mais aussi les symboles du Sacré-Cœur.

Il est placé au-dessus du grand orgue. Il fait face au chœur, les prêtres qui célèbrent la messe le voient très bien. Le Christ est figuré sur la croix mais le soleil lui donne déjà les lumières de la Résurrection.